Les fonctions du comique au théâtre.
QUESTION 1
On peut dire que les personnages des différents récits se ressemblent bien qu’ils n’appartiennent pas à la même époque. Tout d’abord les dialogues sont composés de deux personnages qui n’ont pas la même classe sociale, dans le texte de Molière -le bourgeois gentilhomme -, la marque de supériorité s’aperçoit par leur nom, on peut ainsi comprendre que « monsieur Jourdain » est dans une classe inférieure que le « maitre de philosophie ». Dans le texte de Georges Feydeau, la marque de supériorité, elle, se retrouve dans la discussion entre Follavoine et Rose, où Rose interprète bien son rôle de femme de ménage lorsqu’elle dit « C’est pas moi qui range ici !... C’est Madame », ainsi elle respecte sa maitresse en l’appelant de cette façon et respecte les ordres donnés. Dans le texte -La leçon- de Eugène Ionesco, la supériorité est juste inévitable entre le professeur et l’élève.
QUESTION 2
Ce qui rend ces trois textes comiques sont ces différentes formes de comique ainsi que ces genres de comédie. Dans la pièce de Molière, nous avons un comique de parole, notamment lorsque le maitre de philosophie apprend la prononciation des lettres à monsieur Jourdain lors d’une conversation orale « MAITRE DE PHILOSOPHIE. –La voix A se forme en ouvrant fort la bouche : A. MONSIEUR JOURDAIN. –A, A. Oui. » ce qui rend la pièce comique car en effet lorsque l’on parle nous utilisons déjà la prononciation des lettres. Dans – on purge bébé – le fait que Rose, femme de ménage chez les Follavoine, ne comprenne pas ce que monsieur follavoine dit, nous montre bien que nous sommes dans un comiques de caractère, ainsi, nous avons une exagération des