Dans la quatrième lettre, Valmont se montre comme un conquérant il dit à la Marquise que : « conquérir est [leur] destin » il voit l'amour comme une « mission » un « triomphe ». Mais aussi comme un chasseur car il « attaque » l'« ennemi » en ayant un objectif précis :« voilà le but où je prétends atteindre ». Les premiers mots de sa lettre sont « vos ordres » tandis que les derniers sont « sans rancunes » celui-ci s'excuse alors à la Marquise par peur qu'elle lui en veuille de ne pas l'aider. Il fera également le portrait de la jeune Cécile alors qu'il ne la connait pas. Selon lui c'est un personnage pas digne d'intérêt, une « jeune fille qui n'a rien vu, ne connait rien » ; « sans défense ».
C'est à travers la sixième lettre que le Vicomte se montrera à la Marquise de Merteuil comme un homme amoureux, il fera l'éloge de Mme de Tourvel : « Pour être adorable il lui suffit d'être elle même » Cela fait de lui un homme plus lyrique et plus fougueux que la Marquise qui elle ne dévoilera pas ses sentiments amoureux
Madame de Volanges se servira d'une lettre pour faire à la Présidente de Tourvel un portait de Valmont afin de la mettre en garde. Elle le décrit alors comme un homme d'une candeur rare « encore plus faux et dangereux qu'il n'est aimable et séduisant » ; un homme calculateur : « Il sait calculer tout ce qu'un homme peut se permettre d'horreur sans se compromettre ». La aussi, le libertin apparaît comme un Don Juan « dangereux » : « Je ne m’arrête pas à compter celles qu'il à séduites ».
Valmont quant à lui se soumet à la Marquise de Merteuil dans la quinzième lettre : « Voler à vos pied » par jalousie: « Vous m'avez rendu jaloux » de l'amant de celle-ci : le Chevalier. Par ailleurs , il déclarera son amour encore présent pour celle-ci : « si c'est être amoureux que de ne pouvoir vivre sans posséder ce qu'on désire » ; « je suis bien réellement amoureux. ».
La lettre 21 Valmont explique à la Marquise comment s'est-il montré au yeux de Madame de Tourvel