Les gens pensent que mentir est mal. Le peuple croit que c’est immoral de dire volontairement quelque chose de faux. Pourtant 81% d’entre nous mentiraient à tous les jours selon l’étude du docteur en psychologie Paul Ekman qui fut l’un des pionniers dans l’étude des émotions et de détection de mensonges. Plusieurs croient que c’est plutôt un développement qu’a subi l’humain durant son évolution. En fait, est-ce nécessaire de dire la vérité à quelqu’un lorsque cette vérité va lui faire du mal et que sans lui avoir dit cela, il serait plus heureux? Ce serait bien mieux si les personnes savaient reconnaître le meilleur moment pour dire un mensonge et que ce bobard pourrait apporter du bonheur dans ce monde. J’aimerais pouvoir vous démontrer qu’il est parfois mieux de mentir et que la vie serait meilleure si les gens savaient doser et quand effectuer leurs tromperies.

Tout d’abord, à certains moments il est nécessaire de bercer des promesses dans certaines situations pour éviter des situations très délicates au niveau personnel. D’ailleurs, il y a déjà une partie des humains qui ont compris l’utilité des mensonges, pour ses effets positifs. Tel serait le cas d’une personne qui essaie de désamorcer une prise d’otage. Au moment de la négociation avec le voleur, le négociateur pourrait être poussé à dire au braqueur qu’il n’ira pas en prison s’il relâche tout de suite son otage, même si cela ne se produira pas. Il serait complètement stupide de dire une vérité qui pourrait mener l’homme à commettre l’irréparable, juste pour être honnête. La conscience du policier serait probablement meilleure s’il croit avoir tout tenté pour éviter un meurtre. De plus, pour la famille et les proches de la victime ce serait un drame de perdre un proche. Nombreux seraient scandalisés d’apprendre que le policier n’aurait pas voulu mentir juste par principe.

Le mensonge peut servir aussi pour simplement rendre heureuse sa bien-aimée. Si cette dernière demande l’avis de son mari pour