Les nouveaux étudiants
Si le nombre d’étudiant inscrit en étude supérieur augmente en contrepartie, le taux d’abondant ou réorientation lors de la première année d’étude lui devient inquiétant.
Les nouveaux étudiants sont confrontés à une nouvelle classe scolaire et doivent faire face aux contraintes de ce monde nouveau.
L’étude fait par Régine Boyer, harle Coridian, et Valérie Erlich sur deux sites (Paris et Nice) au sein de 4 filières montre les changements éprouvés lors du passage du lycée à l’université, sur les études ainsi que sur les conditions et modes de vie.
La séparation familiale est le premier facteur de changement constaté en ce qui concerne les étudiants originaire de province.
Les étudiants qui vivent près de leur université ne sont pas amené à ressentir la séparation familiale donc bénéficie du soutien moral physique au quotidien, alors que ceux qui sont originaire de province ils doivent gérer un budget et prendre en charge leurs entretient alors une forme d’autonomie ce crée.
A ce bouleversement de la vie quotidienne vient le soutien des parents qui est moins importante ce qui entraine des tentatives de découragement, ajouter en plus les inscriptions interminable viennent ensuite le bouleversement environnemental. C’est un environnement plus vaste dans lequel il faudrait apprendre à s’orienter au plus vite.
La comparaison entre le lycée et l’université est souvent exposé pour mesurer l’ampleur du changement. Cette sous population composé d’étudiant qui viennent directement du lycée après l’obtention de leur BAC n’est pas homogène (A.COULON), les étudiants débutant décrivent avec régularité l’effritement de leurs réseaux relationnels.
En effet un nouveau cercle d’amis se compose même si pour certain elle semble être fondé sur des base fragile et strictement lié à l’organisation des enseignements.
L’entrée à l’université met en cause non seulement la régularité de la