Les points communs et les différences entre nazisme et fascisme
C’est souvent en pratiquant une activité sportive que les jeunes apprennent la vie, dit-on.
Le sport est-il donc le reflet de la vie ? L’endroit où on peut apprendre à grandir, de la même manière que dans la société. Le sport contribue-t-il à développer une meilleure mentalité ? Mais, au-delà de tout cela, le sport nous montre-il les bons et les mauvais côtés de la vie ?
Tout d’abord, le sport respecte le système de la hiérarchie. Dans toute civilisation, les hommes doivent respecter les différents degrés de hiérarchie. Lorsqu’on fait du sport, amateur ou professionnel, il faut respecter un arbitre, un entraineur, un président de club, … Dans un club de football, les enfants doivent appeler leur entraineur « coach », lui serrer la main, … pour lui montrer le respect.
Le sport permet le dépassement de soi. Comme à l’école ou au boulot, nous sommes amenés à devoir en faire plus pour soi-même ou pour l’équipe. C’est la motivation du sportif, de son entraineur ou du public, qui permet d’essayer de toujours donner le meilleur. Lors d’un meeting d’athlétisme, les encouragements du public pour leur « chouchou » peuvent lui donner des ailes pour réaliser une bonne performance.
D’autre part, quand on fait partie d’une équipe sportive, il nous faut apprendre la cohabitation et la collaboration. Il faut vivre ensemble et développer de bonnes relations avec les autres membres de l’équipe. Mais, il faut également s’entraider, se motiver et apprendre ensemble les joies de la victoire et les déboires de la défaite. Observons la réaction d’un staff lorsqu’une équipe de football perd un match de coupe du monde. Les entraineurs, les préparateurs physiques se précipitent sur le terrain et essayent de consoler leurs joueurs. Ceux-ci se lèvent à leur tour et vont chercher les joueurs les plus émotifs pour qu’ils se relèvent.
Dans cette idée, l’apprentissage de la défaite, c’est la vie ! Les enfants qui font du sport apprennent, depuis