Le problème de la civilisation

Au 18e siècle, L’Europe change pour connaitre un nouveau style de vie qui pousse le peuple dans une nouvelle voie, soit celle des sciences et des arts. Rousseau s’efforce alors de faire comprendre que cette généralisation des arts ne fait qu’entrainer une mer d’informations dont seul les plus amusantes et intéressantes à écouter émergé et où les vrais créateurs sont submergé par la demande. Ce nouveau problème se distingue en trois parties distinctes, soit la sociabilité, la recherche de la distinction ainsi que la multiplication des besoins.

Dans cette toute nouvelle philosophie de vie, chacun se doit d’être légal d’autrui. Deux clans qui étaient autrefois aux antipodes et délimités par un mur invisible qui dorénavant font place à une communauté qui inclut le peuple et les mondains pour former la société bourgeoise où tous ont leurs mots à dire sur n’importe quel sujet. Dans ces nouveaux intérêts aux sciences et aux arts, chacun peut s’affirmer et offrir ses connaissances du monde sans aucun artifice. Dans ce Nouveau Monde où chacun dévoile son opinion et commente les positions des autres, les pensées qui maintenant permettent de sociabiliser ne sont qu’une nouvelle passerelle pour bien paraître envers les gens qui nous écoutent. Avec tous ces spectateurs qui jours et nuits s’empressent de répliquer pour frayer leur propre chemin afin d’être reconnus comme tête pensante ne laisse pas vraiment la place à sa vraie personnalité, mais plutôt à une image de soi-même permettant de se valoriser : « comme si l’image que celui-ci contemple dans le miroir était plus importante que lui-même. » Ensuite, d’un point de vue moins personnel, les sciences et les arts souffrent tous autant de cette perpétuelle soif de reconnaissance. Maintenant, plus personne n’est délimité par des contraintes ou des