Les risques causé par l'interuption de grossesse
10% des femmes qui ont fait une IVG souffriront de complications physiques immédiates diverses.
Il y a deux sortes de risque causé par l’avortement, les séquelles physiques et ceux physiologiques.
Pendant la première année qui suit un avortement, 80% des femmes ont des séquelles physiologique, et 180% de plus psychologique.
Risques physiologiques:
Il existe des problèmes de perforation ou de lacération du col de l'utérus, de l'implantation anormale du placentas ou encore des problèmes de saignement de fièvre, de douleurs abdominales, de vomissements ou de perturbation du cycle menstruel (retardement de règles), dans le cas d'une évacuation utérine. Lorsqu'on introduit des bougies pour dilater le col, on force les fibres cervicales et on risque de créer des incompétences cervicales soit des cols qui ne pourront plus se refermer correctement lors d'une prochaine grossesse.
Il existe également des risques sanitaires comme le cancer (cancer du sein, cancer de l'utérus...) ,d'accouchement prématuré ou retardé ou encore des nouveaux nés handicapés. Après une IVG le risque de stérilité est plus important qu'à l'ordinaire.
L'IVG est associé par l'abaissement du niveau générale de la santé. Pendant la première année qui suit l'avortement 80% des femmes consultent leur médecins pour des problèmes physiologiques et 180% de plus pour des problèmes psychologiques.
Risques psychologiques:
Des maladies, comme l'iatrogène peuvent apparaître à cause de certains médicaments. Une personne ayant subie une IVG, soufre d'une pression plus ou moins marqué de l'entourage et des difficultés à prendre des décisions comme le changement de situation familiale ou professionnel. La patiente peut souffrir également de perturbation de son mental. Le problème peut provenir du médecin traitant qui peut être en désaccord avec la demande d'avorter de la femme.
Le malaise peut également provenir d'un problème héréditaire. Par exemple, une femme