Avec l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Union européenne, les Roms sont devenus la plus importante minorité éthique. En effet, on estime qu’entre 8 et 10 millions de Roms vivent au sein de l’Union européenne. Alors que ce sont des citoyens européens à part entière, leur situation demeure précaire et plus qu’incertaine. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les Roms se sont retrouvés sur les devants de la scène lors des débats sur l’intégration européenne des deux pays.

Pendant la deuxième guerre mondiale, les Roms de Roumanie ont fait l’objet de discriminations, ils ont même été déporté et exterminé ce qui élève à des dizaines de milliers le nombre de victimes Roms durant la seconde guerre mondiale.

Dans les années 1980, plusieurs décrets contraignent les tsiganes à conformer leur mode de vie à celui de la majorité.

Le changement de régime dans les années 1990 a entrainé des efforts politiques en faveur de la réinsertion des Roms. En revanche, le processus de restitution des biens nationalisés ne fait qu’accroitre les différences économiques. En effet, les Roms ne disposent pas de biens immobiliers et sont fortement touchés par le chômage.

Selon les recensements pour l’année 2011, les Roms seraient présents au nombre de 325 343 en Bulgarie, il représente 4,9% de la population.

Avec l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Union européenne, les Roms sont devenus la plus importante minorité éthique. En effet, on estime qu’entre 8 et 10 millions de Roms vivent au sein de l’Union européenne. Alors que ce sont des citoyens européens à part entière, leur situation demeure précaire et plus qu’incertaine. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les Roms se sont retrouvés sur les devants de la scène lors des débats sur l’intégration européenne des deux pays.

Pendant la deuxième guerre mondiale, les Roms de Roumanie ont fait l’objet de discriminations, ils ont même été déporté et exterminé ce qui élève à des dizaines de