I- Le parti contrôle l’Etat A – Un parti unique
Le système politique des régimes totalitaires n’admet qu’un seul parti politique. Le pouvoir est donc concentré dans les mains du « seul capable », le chef du parti. De ce fait, il se protège de tous éventuels concurrents. Dès son arrivée au pouvoir en 1933, Hitler fait interdire les élections, et n’autorise l’existence que d’un seul parti, le NSDAP. De leurs côtés, Staline et Mussolini ne suppriment pas les élections mais imposent les candidats.
Le regroupement d’un parti qui aurait une politique différente n’est pas même cautionné.

B- Le culte du chef
Les dirigeants des partis totalitaires bénéficient d’une médiatisation sans faille : radio, cinéma, presse, art sont mis à contribution. Le peuple adule son chef et lui voue un véritable culte de la personnalité, de façon à être vu comme des hommes forts, inébranlables et dévoués à la patrie. Leur portrait sont présent partout : foyers, lieus publics. .
Des monuments tels que des sculptures, parfois gigantesques, sont édifiés en leur honneur.

C- La politique de guerre
La politique de guerre des totalitarismes est perçue comme un moyen d’instaurer une société nouvelle. La guerre est une valeur, au même titre que la gloire, en effet préparer une guerre créer de l’emploi, ce qui constitue un argument économique. L’économie de ces régimes est elle aussi destinée à la guerre. L’Italie fasciste y voit une chance de retrouver son territoire d’entant, à l’époque de la Rome Antique. Elle s’empare de l’Ethiopie en massacrant la population, et prévois de faire de même avec la Lybie : « Espace vital » .

II- La terreur, un outil qui protège le système
A- Répression sans faille
Pour assoir son pouvoir, l’Etat a recours à divers moyens. Un des plus utilisé est la formation de police politique : Gestapo et SS allemande, Tcheka et NKVD soviétiques et escouade italiennes. Elles ont pour rôles de dissiper tout mouvement de rébellion par la violence. Ceux