Les troubles de la marche
Des mots pour prévenir, des actions pour soigner
Ce texte nous apprend que la fréquence des troubles de l’équilibre et de la marche chez la personne âgée s’explique par la sénescence et les pathologies plurifactorielles. Celles ci ont des conséquences trop souvent dramatiques qui entrainent une restriction d’activités et donc des répercutions psychosociales et des risques de chute aux complications parfois irréversibles.
Mais aussi que pour bien marcher, il faut une bonne vue, une bonne ouïe mais aussi une bonne solidité osseuse.
Il existe des tests afin d’évaluer le capital osseux et le risque de chute : * « Timed Up and Go test » * Ostéodensitométrie
Mais ceci reste de la prévention primaire et cela ne suffit pas.
Prévention secondaire = aménagement de l’environnement et rééducation post chute pour éviter des conséquences psychologiques dramatiques qui sont trop fréquentes.
Pour finir, l’aide partielle dans les gestes de la vie quotidienne permet d’éviter à la personne âgée une trop grande dépendance et donc de garder confiance en elle.
Marche et Vieillissement
Ce texte nous apprend qu’il y a 4 facteurs intriqués dans les troubles de la marche : * Modification de l’équilibre dynamique qui s’altère avec l’âge la personne âgée se concentre plus sur ses pieds et sa façon de marcher que sur son équilibre ; elle ne peut pas faire plusieurs choses en même temps . * Les maladies qui altèrent d’avantage la qualité de la marche que l’âge même (ex : affection rhumatologiques et arthroses du membre inférieur) * Démotivation et Hypoactivité les mouvements deviennent difficiles donc l’envie de bouger diminue Il n’y a plus d’intérêt dans le mouvement qui est devenu trop couteux * La désadaptation à l’effort : la personne âgée a moins de réserves d’énergie qu’une jeune personne donc la marche devient plus couteuse.
L’aide à la