Paris, vendredi 5 Janvier 1883

Ma chère Jeanne, me voici assis chez moi, seule , entrain de lire un livre intitulé « Une vie » de Guy de Maupassant dont vous êtes l’héroïne . Sachez que l'amour n'est pas celui que l'on puisse imaginez je vais vous conter en quelques lignes mon histoire. J'ai deux frères et une sœur cadette . Je ne citerez pas leur nom afin de les préserver.

Le jour du mariage de mon frère , mariage arrangé, se fus pour moi un jour de bonheur mais aussi le début d'une grande tristesse . Mère fus très joyeuse à l'idée de me présenter mon futur époux qui deviendra pas la suite l'homme de mes souffrances .

Tout comme vous je reçu mon éducation loin de ma famille, dans un des couvents les plus prestigieux donc mon esprit face à la vie était infini . Mais je croyais à l' amour même sans l'avoir rencontrer. Cet homme qui voulait bien de moi , qui voulait m'aimer sans même me rencontrer ni m'avoir aperçu. Je termina mon année au couvent et je m’aperçus en étant chez moi que je n'est jamais vécu avec mes parents depuis dix ans. Je lui écrivais des lettres , à cet homme qui deviendra mon mari dans un peu moins d'un mois . La joie que j'éprouvais , cette liberté d'aimer de n’être qu'un tout en étant deux me rendais chaque jours plus heureuse .

Une nuit un bruit sourd me réveilla, me faisant bondir hors de mon lit. Je longeai les murs jusqu'au grand salon ou ma vision devenait un cauchemar en voyant mère allongée au sol et père la frappant.
Quand celui-ci eu fini je me cacha peur d’être vu ou pour seulement?
Il parti et je rejoignis mère. Elle fut soulager et attrister à la fois , elle m’expliqua que l'amour est ainsi et nous ne reparlions plus de cette nuit là.

Quand le jour du mariage arriva , ce fus un jour extraordinaire. Me levé tout les jours à ses cotés et l'aimer , je n'aurais put penser que cela serait aussi facile. Un mois s'écoula et son changement d'humeur commença à m' effrayé jusqu'au jours où il me frappa