lettre à menecee
II- La lettre à Ménécée, se découpe en 2 grandes parties après une introduction sur la nécessité de philosopher: tout d'abord les conditions négatives au bonheur et ensuite les conditions positives. Selon Épicure il ne faut pas craindre la mort et les dieux. La mort et les dieux sont des conditions négatives, car craindre la mort, comme les dieux sont des passions et les passions troublent l'esprit en empêchant l’exercice de la raison, qui ne sait plus distinguer quels les désirs possibles à réaliser et ceux correspondent à un vrai besoin corporel. Les passions crées des désirs substituables influencé par la société. Or si nous passons notre temps à réaliser des désirs qui ne nous sommes pas propres, nous en ressortons insatisfait et les véritables besoins de sont pas comblé. Donc le manque ressenti nous empêche d’être heureux.
Pour s’en libérer, Épicure propose un double travail : sur les causes de ces craintes (l’ignorance, qui favorise l’imagination qu’un mal peut nous arriver) et ceci peut être combler par la connaissance scientifique. Et une fois ces causes anéanties, sur leur mise en pratique : il faut comprendre le lien entre l’ignorance d’un événement et mon comportement, grâce à une réflexion personnelle, pour pouvoir corriger ces comportements volontairement.
Puis Épicure énonce des