Walcourt, le 18 octobre 2013

Monsieur Sinoué,

Je me permets de vous adresser cette lettre en vue de vous faire part de mon opinion critique à propos de votre roman L'enfant de Bruges. Nous avons dû effectuer une lecture épistolaire de ce dernier dans le cadre de notre cours de français. J'y mettrais un avis nuancé sur différents aspects abordés dans le cours de ma lettre.

Ainsi, je trouve de ce roman une bonne façon pour nous, jeunes étudiants du XXIème siècle, d'en apprendre davantage sur ce que l'on sait déjà sur l'époque de l'histoire du XVème siècle. N'ayant pas une énorme connaissance, ou du moins approfondie sur le sujet, il me semble que ce livre peut être accessible malgré cela. Il est remarquable qu'un auteur français s'intéresse si précisément aux évènements historiques de la Belgique.

Ensuite, d'un point de vue personnel, je pense intéressant de lire cette histoire qui se joue autour du jeune Van Eyck, enfant ayant été adopté dés ses premiers mois, ce qui n'est pas habituel de voir pour des jeunes qui vivent comme nous, à notre époque. C'est une manière de se faire une réflexion sur ce qu'est le réel abandon, et ainsi de se faire une idée de la chance que nous avons d'avoir nos parents avec nous, bien qu'ils soient séparés, dans mon cas. J'en profiterai pour vous poser cette question qui m'intrigue : L'idée que le héro soit adopté dans l'histoire vous est venue d'un fait réel que vous auriez connu ?

Pour suivre, le langage utilisé n'est évidemment pas celui que nous parlons, à notre époque. De ce fait, celui-ci est difficile pour des jeunes de comprendre toutes les phrases du roman. Je voudrais ajouter malgré cela que cet oeuvre est évidemment tout à fait bien écrite.

Enfin, je terminerai cette critique au sujet de la façon de mener l'intrigue. Notre professeur de français nous a divisé cette lecture épistolaire en trois, ce qui nous a fait remarqué cette division. Serait-ce une division volontaire de votre