Liberté d'expression (résumé de différents articles)
La liberté est une valeur fondamentale de notre société démocratique mais nous devons toujours rester vigilant pour la conservée intacte.
Ce principe est inscrit dans la déclaration des droits de l’homme de 1789 : « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement »
Il est également assuré par la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme en 1950 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées »
Ces lois sauront s’adapter à l’évolution notamment technologique. A partir de la loi de 1881, sur la liberté des médias, il est confié à la justice le soin de poursuivre les éventuels crimes ou délits commis par voie de presse contre des particuliers ou des autorités publiques.
Dans la convention européenne des droits de l’homme il est inscrit : « La liberté d’expression peut être soumise à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi»
La liberté d’expression n’est donc pas totale et illimitée. Elle est encadrée par la loi. Les principales limites en France relèvent de deux catégories : la diffamation et l’injure d’une part, les propos appelant à la haine, qui rassemblent notamment l’apologie de crimes contre l’humanité, les propos antisémites, racistes ou homophobes d’autre part.
En dépit des textes de base, la liberté d’expression n’a cessé d’être grignoté. En effet, de nouvelles restrictions législatives à la liberté d’expression voient le jour pratiquement chaque année.
Aujourd’hui les interdictions pures sont rares, mais les attaques sont incessantes et cela touche aussi bien le réel, le virtuel que l’imaginaire.
En 1992, le tribunal de grande instance de Paris estimait que la liberté d'expression « autorise un auteur à forcer les