Litterature
Tatiana Mardi 27 septembre 2011
DM de Littérature
1. Les tensions entre de Gaulle et les « politiques » a) De Gaulle suggère qu’il ne fait pas totalement l’unanimité au sein des « élites » et des « politiques » qui assistent à son discours car il nous dit qu’à présent c’est la politique qui dominait les actes du gouvernement. Il a eu droit à plusieurs ovations retentissantes le fait d’être passé après l’allocution éloquente de Georges Bidault. Il se compare à Albert Hall et Brazzaville en disant être reporté à leurs assemblées unanimes ou il se dit être aux auditoires accordés d’Alger, de Tunis et d’Ajaccio. De plus, d’après quelques regards, les « politiques », qu’ils fussent anciens ou nouveaux, nuançaient leur approbation. Il dit ne plus avoir de popularité, il l’a compare à un capital qui solderait les déboires inévitables au milieu des ruines. b) Le blâme virulent du parti communiste dénoncé par de Gaulle est que beaucoup d’endroit de la France a du mal à revivre. De Gaulle nous dit que quand Lyon avait été libéré par la 1ére Armée française et par les Américains, ils ont essayés de revivre mais que c’est un problème qui a été ardu ; les voix ferrées et les gares de Vaise, des Brotteaux, de Perrache, se trouvaient hors d’usage. Puis à Marseille l’atmosphère se faisait très lourde. Destruction du quartier du Vieux-Port en 1943 par les Allemands, puis les bombardements alliés et enfin la bataille du mois d’août, qui avaient démoli les larges secteurs de la ville, les bassins et les jetées. Quant à la population, elle végétait dans la misère et un air de tension et presque d’oppression entrainait des actes abusifs. Marseille procédait même à des exécutions alors que l’autorité publique ne s’y opposât qu’avec