« Si la littérature ne faisait pas de place au mal, elle ne pourrait être qu’ennuyeuse »
Cette constatation nous appareille qu’une littérature qui ne contient pas le mal, ne sera pas intéressante pour le lecteur. Le mal c’est ce qu’il faut pour créer une ambiance entraînant, dit nourri. Le lecteur attend toujours de la littérature attirante, cela peut être une histoire captivante, un drame impressionnant, un roman tragique ainsi qu’un conte consternant. Le mal joue, dans presque toutes les formes de littérature, s’il soit caché ou clairement représenté, un rôle central.
Dans un premier temps, définissons ce que le mal peut manifester, en quels situations le mal s’exprime par des personnages et en d’autres cas, le mal ce n’est rien qu’une détermination par des forces ailleurs. Dans la foulée on va définir le terme « ennuyeuse ».
Dans un deuxième temps, expliquons un cas, pour lequel cette constatation est tout à fait vraie et attestons cette explication avec un exemple simple et clair.
(…)
Ensuite laissons-nous comparer les deux arguments, voir s’ils se contredisent ou s’ils s’accordent.
En conclure la réflexion sur cette constatation, reprenons les explications et même les arguments et trouvons un cas unitaire, dans lequel cette constatation est vraie pour tout le monde.
(toute l’annonce du plan à préciser)
Le mal, on peut le comprendre par exemple d’une forme humanitaire. Ceci peut donc, dans le conte être un scélérat, un monstre, un bandit, un malicieux ou une canaille. Mais le mal peut très bien être le destin, par exemple dans un roman. Il apparait donc sous forme d’une maladie, un mort imprévu, un accident, une catastrophe environnementale, ou une malchance inévitable.
De plus, le mal peut être présenté sous forme de critique de l’auteur. Prenons l’exemple d’une critique de la société, qui démontre les maux de notre monde actuel.

Tout le monde connaît l’ennui. Mais laissons à côté ce qui fait qu’un livre est ennuyeux et concentrons-nous sur