La fable : Les deux coqs.

Épisode de la guerre de Troie. Avec les combats de Hector et Achille consécutive a l’enlèvement de Hélène a mélémasme par Paris. Analogie a faire.
Analyse impérative du titre que représente le coqs. Que représente de mettre deux adversaires face a face.

Procédé majoritaire dans la fable l'ironie,parodie,désacralisation,caricature. V6 connecteurs temporel qui renvoie a l'ordre du récit → le «longtemps» rythme du récit ? Plus parodie car ici on ne raconte pas le combat comme on fait dans les contes mythologique. Mythologie combat de dieux ici c'est l'Amour avec l'allégorie. Les coqs sont de basse cours. Se ne sont plus les dieux qui dirige mais le hasard (le vautour).
Renversement de situation inattendu et plaisant amusant. «battait l'air » façon inutile dérisoire.

→ Tout commence le jour des noces de Pélée et de Thétis. Thétis est une divinité de la mer, l’une des cinquante Néréides (filles de Nérée, « le vieillard de la mer ») ; les dieux lui ont imposé d’épouser un mortel. Lors du mariage, qui réunit sur le mont Pélion tous les dieux descendus de l’Olympe, Éris, déesse de la discorde, mécontente de n’avoir pas été invitée, se venge en jetant une pomme d’or portant l’inscription « À la plus belle ». À laquelle des trois déesses présentes Athéna, Héra et Aphrodite revient ce présent ? Zeus ne peut trancher et se décharge de cette responsabilité sur un mortel, un jeune berger qui garde le troupeau de son père sur le mont Ida : Pâris, le plus jeune des fils de Priam, roi de Troie. Hermès lui présente les trois déesses. Chacune tente d’influencer le jugement du jeune homme : Athéna lui promet la victoire dans les combats, Héra, la souveraineté sur l’Asie, et Aphrodite l’amour de la plus belle des femmes : Hélène, fille de Zeus et de Léda. Pâris choisit Aphrodite. Au cours d’un voyage en Grèce en compagnie d’Énée, Pâris est accueilli à Sparte par le roi Ménélas, époux d’Hélène, qui le comble d’attentions. Mais, celui-ci devant