Bestiaire et la nature dans les Mains libres

« La plage »
-Dessin apport microcosme macrocosme ; Eluard ouvre les représentations à la pluralité,
-Idée de communion surréaliste :échelle du monde entier :une sorte de manifeste , aller au-delà des apparences
« Objet »
-créateur surréaliste par excellence
-recrée le monde par poésie ou art
2 /La nature comme « autre » espace –temps
Temps d’avant
Cet autre espace temps la nature : temps premier , dns « belle main » evoque le temps des origines : « ce soleil qui gémit dans mon passsé » via le soleil on revient dans ce poème à une pureté première. Parallele « le temps qu’il faisait le 14 mars » des premieres végétation

« Main et fruits »
Temps premier qu’on retrouve chez philosophe grecs , idée d’un temps cyclique ,cet autre espace temps ou la nature ne s’arrete jamais :immortalité.
La mort engendre la vie.

« Le sablier compte fils »
Au cœur du cycle de la vie et de la mort : « La rose » et « le givre »
La mort est transcendé , dépassé.
La nature est dans un mouvement qui est en permanence un mouvement du devenir

3 /La nature et bestiaire :sensualité
Nature convoqué dns le recueuil pour dire l’amour : « L’évidence », « Le don »
La nature dominante dans recueil =nature méditéranéenne
-« Desir » : « jeunesse du fauve »=sensualité animalisé
-femmes animalisé « La peur »
-« la femme et son poison » femme subit une anamorphose ça rassemble la nature , le bestiaire et la sensualité.
-« la femme et son grillon » : métamorphose
-« la libeté »
- « les yeux stérilles »
- « les sens » un poème voué à une synesthésie= correspodance des sens
« entend le rubi éclore » =sonore
« la turquoise se faenner »
Cette transfiguration est là pour dire une jouissance :orgasme
4 /La nature comme état intériorité , état d’ame
« L’aventure » ce qui entoure cette femme projection de son monde intérieur , on passe dans un espace révé. On est dans l’idée de nature onirique. Poème et dessin

-« Feu d’artifice » transforme feu d’artifice