Introduction
Aujourd’hui, à son réveil, le consommateur a plusieurs choix à faire : qu’est-ce que je bois, du café anglais ou du thé chinois? Avant de partir, qu’est-ce que je porte, des chaussures françaises ou les chaussures italiennes? En entrant dans un magasin, qu’est-ce que j’achète, un ordinateur américain ou un ordinateur japonais? Bien évidemment, notre vie d’aujourd’hui a considérablement changé. En tant que consommateur, on a l’habitude de choisir des produits provenant de pays différents sans bouger à l’étranger grâce à la mondialisation.

Le développement de l’économie, la popularité d’Internet et la suppression des barrières entre les pays favorisent le développement du commerce international. En 1973, le commerce international représentait 12% du commerce total. Ce chiffre a doublé jusqu’à 23 % en 2005. Dans ce contexte, la plupart des nations sont entrées dans une concurrence plus importante. L’exemple le plus connu est celui de l’Union européenne, qui regroupe vingt-sept pays indépendants depuis 1993. Ceci a favorisé le développement économique et a contribué à l’harmonie sociale pour les pays membres en s’affranchissant des barrières géographiques. Maintenant, l’Union européenne réalise 38 % du commerce mondial, par rapport à 15% pour les Etats-Unis, et à 28% pour l’Asie.

La fréquence des transferts et des échanges internationaux de biens, de main d'œuvre et de connaissances transforme notre monde en un village planétaire. Dans ce processus, le gain est partagé par chaque pays. Mais en effet, les pays riches ont les meilleures conditions sur le marché mondial, le partage des avantages est plus en leurs faveurs. Parallèlement, les pays pauvres, le faible partie à la concurrence, rencontrent beaucoup d’inconvénients