Otto Dix, Allemand inspiré par le mouvement expressionniste, reste le peintre le plus connu de la Première Guerre Mondiale. Engagé dans une compagnie de mitrailleurs, il ressort de cette expérience traumatisé et peindra plus de 600 œuvres sur le thème des tranchées et de la mort. Dans les années 1960, il déclarera au cours d'un entretien : « La guerre est quelque chose de bestial : la faim, les poux, la boue, tous ces bruits déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l'impression que tout un aspect de la réalité n'avait pas encore été peint : l'aspect hideux. La guerre, c'était une chose horrible, et pourtant sublime. Il me fallait y être à tout prix. Il faut avoir vu l'homme dans cet état déchaîné pour le connaître un peu ».Otto Dix, Allemand inspiré par le mouvement expressionniste, reste le peintre le plus connu de la Première Guerre Mondiale. Engagé dans une compagnie de mitrailleurs, il ressort de cette expérience traumatisé et peindra plus de 600 œuvres sur le thème des tranchées et de la mort. Dans les années 1960, il déclarera au cours d'un entretien : « La guerre est quelque chose de bestial : la faim, les poux, la boue, tous ces bruits déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l'impression que tout un aspect de la réalité n'avait pas encore été peint : l'aspect hideux. La guerre, c'était une chose horrible, et pourtant sublime. Il me fallait y être à tout prix. Il faut avoir vu l'homme dans cet état déchaîné pour le connaître un peu