Lombalgie
Arguments en faveur :
Dl lombaire persistante, progressivement croissante, nocturne = horaire inflammatoire, AEG, fièvre et VS élevé
Lombalgie aigue horaire inflammatoire
TV sur ostéopathie bénigne (VS N, Mur post intact) par ostéoporose, ostéomalacie, hyperparathyroïdie primaire
TV sur ostéopathie maligne (VS élevée,hypercalcémie,AEG,lésion du mur postérieur) : méta, MMO
Spondylodicite infectieuse
Fissuration anévrysme Ao, Dissection Ao
Colique néphrétique ou PNA
Abcés ou hématome du psoas
Lombalgie chronique inflammatoire :
Spondylodicite infectieuse torpide tuberculeuse ou brucellose
Rhumatisme axial inflammatoire : Spondylarthropathie
TB : neurinome, méningiome, épendymome, ostéome ostéoïde
Tumeur pelvienne / rénale
Tumorale : métastase, myélome, sarcome, chordome, tumeur à cellules géantes, ostéoblastome
ADP prévertébrale (infectieux, tumoral : LMNH, Hogkin)
Fibrose rétropéritonéale (Methysergide Désernil®,..)
• LUMBAGO
Lombalgie aigue de cause discovertébrale
Terrain : Très fréquent, sujet jeune > 30 ans après un effort de soulévement ou microtraumatismes répétés (mvt de torsion,..)
Installation : brutale ou rapidement croissant sur qq h
Signes fonctionnels :
Douleur : aigue, violente, impulsive à la toux/défécation/miction, lombosacrée d’horaire mécanique, possible irradiation sciatique ou crurale.
Craquement lombaire au moment de l’effort
Inflexion antalgique (pliée en 2)
Position debout est svt impossible
Signes négatifs : absence de fièvre, d’asthénie ou d’amaigrissement.
Signes physiques :
Raideur rachidienne majeure avec absence de déroulement lombaire
DDS augmenté, Schoeber absence d’anomalie
NB : Pr J.Sany, la Rx et Bio ne doivent être réalisé qu’en cas de persistance après 10 j de ttt bien conduit. Par contre ne correpond pas au RMO : Il n'y a pas lieu de demander ou de pratiquer un