Lorsque j'était une oeuvre d'art
1. La musique
Au début du film, quand Nini « à la chatte mouillée » est virée et qu’on la voit se balader dans la rue seule, on entend une musique assez triste. Et qui est répétée à la fin du film à l’enterrement de l’enfant qui s’est tué sur son lieu de travail. Les autres musiques qui apparaissent dans ces deux séquences restent assez tristes et n'évoquent que le désespoir.
On peut supposer que les musiques font allusions au désespoir des citoyens d'Alost du début à la fin, c’est pour cela que la musique du début est de nouveau entendue à la fin.
2. Les couleurs, leurs oppositions
Dans la 1ère séquence au début on peut clairement voir des couleurs sombres qui signifient la misère dans l’usine de texture « chez Boremans ». Ensuite on peut constater, par exemple, à l’enterrement dans la dernière séquence du film, les gens autour de la tombe sont habillés de façon très sombre et autour d’eux il y a des couleurs plus joyeuses comme l’herbe verte.
Parfois des couleurs vives s'implantent dans le décor pour, peut être, y faire naitre une sorte d'espoir dans les couleurs sombres qui dominent le film. Le couleur sombre signifie surement la misère des villageois d’Alost.
3. Les cadrages
La plupart du temps le film est tournée a l’échelle du plan de demi-ensemble, le plan moyen ou encore américain que ce soit dans le début ou la fin du film. Mais il y a des fois des échelles différente comme un gros plan quand Daens parle à Monseigneur Stilmaens de son transfert dans la première séquence. Ou dans la dernière séquence, l’échelle est un plan d’ensemble a l’enterrement. Sinon pour les champs de vue, il n’y a que des champs normaux. Il y a des fois des hors-champs comme dans l’usine ou on entend les machines mais on ne les voit pas tout le temps. Et des contre-champs il y en a un quand Daens est dans l’hospice vers la fin du film on peut voir les évêques en