Car c'est ça la vie. On tombe amoureux. On es heureux (amoureux rime avec heureux, assez représentatif de nos priorités). On es moins heureux. On es plus amoureux. On retombe amoureux , et tout recommence. Et là c'est la catastrophe. Parce qu'on se rend compte que plus ça va plus c'est dur. On arrête d'être amoureux. Parce que ça n'en vaut même plus la peine. Mais on recommence. Et on croit que ça sera différent. Parce qu'on croit toujours à l'amour, ce sentiment si lointain et si proche à la fois. C'est comme si notre route était faite de désillusions et d'instants de bonheurs successifs. rnEt on rêve de passer tout le reste de notre vie dans notre lit. rnQuelques mois plus tard, on y repense, et on rit. Après une personne nous tombe dessus. On se dit "ça y est, c'est bon". Mais ce n'est jamais bon. Et on chante, et on saute dans la rue, on rit, on vit. Puis arrive le moment , l'épée de Damocles s'abat sur nous, et tout ça et fini. On doit réapprendre à croire. Retrouver la motivation. Cette motivation qui nous fait mettre le pied gauche devant le droit. rnAinsi va la vie.rnEt on se réveille. On es vieux. Et notre vie est finie. Regretterons nous ?Car c'est ça la vie. On tombe amoureux. On es heureux (amoureux rime avec heureux, assez représentatif de nos priorités). On es moins heureux. On es plus amoureux. On retombe amoureux , et tout recommence. Et là c'est la catastrophe. Parce qu'on se rend compte que plus ça va plus c'est dur. On arrête d'être amoureux. Parce que ça n'en vaut même plus la peine. Mais on recommence. Et on croit que ça sera différent. Parce qu'on croit toujours à l'amour, ce sentiment si lointain et si proche à la fois. C'est comme si notre route était faite de désillusions et d'instants de bonheurs successifs. rnEt on rêve de passer tout le reste de notre vie dans notre lit. rnQuelques mois plus tard, on y repense, et on rit. Après une personne nous tombe dessus. On se dit "ça y est, c'est bon". Mais ce n'est jamais bon. Et on chante, et on