Lucien Malson, les enfants sauvages

439 mots 2 pages
Lucien Malson, Les enfants sauvages.

I. L’idée principale du texte concernerait l’opposition entre l’homme et l’animal. L’animal serait du coté de la nature et l’homme de la culture. Leurs différences porte sur le comportement. Les caractères de l’animal sont héréditaires, ils ont des instincts et des comportements identiques au sein d’un même groupe d’espèce. L’animal aurait une unité de comportement, tandis que l’homme une pluralité.

II. « C’est une idée désormais acquise que l’Homme n’a point de nature mais qu’il a - ou plutôt qu’il est - une histoire (…). »
L’homme est libre par rapport à la nature car à la différence de l’animal, nous sommes pas ce que nous sommes a partir d’un instinct. L’instinct correspond à des choses naturels, qu’un animal va répéter tout au long de sa vie, sans avoir besoin qu’on lui apprenne. Nous avons l’exemple du chat, qui après ses besoins retourne la terre. Nous possédons uniquement une histoire, elle peut être l’histoire de l’humanité, mais aussi notre histoire individuelle. L’homme devient ce qu’il est par l’expérience, son rapport aux autres. Avec ce rapport aux autres nous apprenons des modèles de comportement, comme le fait de bien se tenir, ne pas parler la bouche pleine etc. Mais aussi des façons de penser, les filles auraient tendance a plus aimer le rose, les garçons ne pleurent pas car sinon ils seront comparés à des filles etc. Chacun devient ce qu’il est à partir d’un ensemble de relations sociales qui lui transmettent des modèles de comportement et des façons de penser. Nous sommes éduqués, on nous inculque des valeurs, des savoirs êtres. Tout individu nait dans un monde forgé par les hommes, avec des traditions, des religions, des connaissances, des techniques, des productions humaines. L’homme est donc l’histoire.
« Le naturel, en l’Homme, c’est ce qui tient à l’hérédité, le culturel c’est ce qui tient à l’héritage. »
Le naturel concerne tout ce qui dépend du corps. L’hérédité est la transmission

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