Lyceenne
Pour prévenir ces différentes formes de maltraitance, il est impossible de se préoccuper des victimes sans se préoccuper de leurs auteurs. Cette violence est souvent exercée par une personne de l entourage familier de l’enfant (personne de la famille, instituteurs, éducateurs …). L’agression extérieure est rarement faite par un individu étranger à l’enfant.
Les enfants a risque :
Le nombre d’enfant qui risque la maltraitance augmente d’année en année. En effet, 97% des départements citent les carences éducatives comme premier facteurs de risque. Les conflits, les séparations familiales viennent en seconde position suivie de près par les problèmes psychopathologiques des parents (alcool, drogue). Le chômage, la précarité et les problèmes financiers sont également un signal d’alerte à ne pas négliger.
Que dit la loi ?
Pour les professionnels, instituteurs, éducateurs, médecins, assistances sociales, le principe du secret professionnel est défini par les articles 226-13 et 226-14 du code pénal. Cependant, ces personnes doivent signaler le mauvais traitement à l’égard des mineurs de moins de 15 ans. La révélation du secret dans ce cas est possible (article 226-14 du code pénal). Dans tous les cas toutes personnes ayant connaissance de l’existence d’un enfant maltraité ou supposé l’être doivent en prévenir les institutions juridiques, médicales ou administratives. Ne pas les faire serait considéré comme de la non-assistance a personne en danger (article 443-3 du code pénal).
La parole de l’enfant
Tant leur imagination est débordante, on dit d’un enfant bavard qu’il peux raconter tout et n’importe quoi. Cependant, il existe un domaine ou les enfants font attention a ceux qu’ils disent, c’est celui des violences dont ils subissent. L’enfant maltraité garde sous silence les maltraitances dont il peut être victime, c’est pour mettre un terme a cela qu’il peux finir par en parler. Ne pas prendre ces