2) L’incompréhension du mal

Dom Juan est libre de toute forme d'autorité et cela fascine le spectateur qui lui, à forcement quelqu'un qui est au dessus de lui dans la hiérarchie (familiale, sociale, etc...). Ainsi Dom Juan, tout au long de la pièce, ne craint pas de répression, ni de punition. Il vit une vie joyeuse et sans contrainte. L'autre point qui fascine dans son personnage est la facilité à charmer ses demoiselles mais n'a pas de relation sérieuse et ne veut surtout s'engager avec aucune de ces femmes. Il a une vie sexuelle libre et épanoui ce qui, à l'époque, choquer toute la société. C'est le fait qu'il soit indépendant malgré les règles imposées qui rend encore ce personnage fascinant et attachant. Le libertinage était très mal vu à l'époque et surtout parce que l’Église n’appréciai pas du tout cette façon de pensée. Il considérai cela comme le pêché de la luxure. Molière décide de conclure sa pièce par la disparition du mal pour la société de l'époque en le faisant oublier par les néants de l'Enfer et surtout par la Statue du Commandeur. Depuis quand une statue invite des gens chez elle ? Et depuis s'est-elle parler ? Elle est l'évocation même du tout-puissant qui punit Dom Juan pour tous ses méfaits accomplis au sein de cette période de refus des lois et d'aucun devoir qui n'est fait.

3) La perception du mal au XXIeme siècle

Aujourd'hui, Dom Juan est considéré comme un homme qui pendant toute sa vie ne voulait pas être une personne comme les autres et qui voulait également être en marge par rapport à la société, c'est ce fait là que reconnaît les personnes au XXIeme siècle. Son courage et sa détermination montre que les libertins ne sont pas simplement des personnes à la vie sexuelle libre comme on les considèrent à présent mais des penseurs et des philosophes à l'envie de liberté. C'est aussi en cela que les libertins transmettent leur message pour nous dire qu'il ne faut pas se réduire à des règles mais aussi profiter de la vie et