Madame bovary la mort d'emma
359 mots
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D'entrée de jeu, nous pouvons remarquer que c'est un début du récit inhabituel. En effet, une première lecture suffit pour qu'on s’aperçoive qu'il s'agit d'un univers romanesque. Cela se voit notamment par le cadre spatio-temporel comme nous montre le lieu et le chemin «au milieu de champs» l.35. De même, la présence de personnage comme le suggèrent les noms propres «Maître» à la ligne 3 ou encore «Jacques» à la ligne 4, ainsi on a la présence d'une intrigue avec «l'histoire des amours de Jacques» ligne 34. A cela s'ajoute également l'emploi du passé simple et de l'imparfait comme nous l'indiquent les verbes conjugués «ils allèrent» l.49, «fut» l.50,, «qui partait» ligne 7, «ne tiendrait» ligne 39 montre qu'il s'agit effectivement du temps de récit. On remarque ensuite, que le narrateur a un point de vue omniscient : présence de retours en arrière. En outre, nous voyons la présence d'une incipit. Tout d'abord, nous remarquons la présence d'un ouverture de récit comme le montre la troisième personnes du pluriel «ils». Ainsi, on nous indique la présentation des personnages comme l'indiquent la présentation de protagonistes. De plus, cet extrait nous suggère une promesse de récit comme le suggère la ligne 34 «l'histoire des amours de Jacques». En fin, nous remarquons la présence d'un récit inhabituel. Cela se voit notamment par les questions sans réponses comme l'indique les accumulation des questions. Ainsi, on nous présente la forme du texte : un récit théâtre comme le suggèrent le dialogue et le récit «coup de scène qui relève du coup de bâton ligna 14. En effet, le narrateur interpelle le lecteur comme on le voit à la ligne 39, le narrateur se joue du lecteur. De même, le narrateur détermine les péripéties comme on le voit à la ligne 41- 44 «en leur faisant courir à chacun tous les hasards qu’il me plairait» ligne 41, «qu’est-ce qui m’empêcherait de» ligne 42, «Qu’il est facile de faire des contes» ligne 44.
Si l'extrait de Jacques le Fataliste est un