Madame Bovary Travail E Crit
Le réquisitoire de Madame Bovary trouve les actions de la madame et ses adultères immoraux. Mais Flaubert n’écrit pas un roman immoral car il se moque les actions et les pensées de la vie de Madame Bovary et celle des adultères. L’histoire montre en fait les fautes et la faiblesse en vivant un vie qui chasse les sentiments de romanticisme en haut. Pour chaque action qui est immorale, on voit aussi une critique de l’action dans l’effet ou les circonstances de la décision. Flaubert expose l’ironie des affaires d’Emma dans un façon qui ridicule ses valeurs et aussi celles des bourgeoises. En fait, le roman exerce une valeur positive par rapport à la morale publique qui peut penser que cette mode de vie et une d’excellence morale. Deux exemples incluent une conversation entre Rodolphe et Emma à la kermesse et les événements qui précède et qui suit la mort d’Emma.
On trouve un exemple de ridicule d’Emma et son affaire avec Rodolphe dans leur conversation pendant que les Comices parlent à la population de Yonville. Ils louent les valeurs de la compagne quand Rodolphe chuchote des mots tendres. Un officiel dit aux laboureurs et fermiers « Continuez ! Persévérez ! N’écoutez ni les suggestions de la routine, ni les conseils trop hâtifs d’un empirisme téméraire. » (p. 214) Rodolphe murmure « Est-ce que cette conjuration du monde ne vous révolte pas ?...les instincts les plus nobles. » (p. 213) En surface Flaubert promue des valeurs contre le moral publique en montrant un personnage épousant des tenants contre un vie honorable. Le narrateur explique quand M. Derozerays parle que « Rodolphe, avec Madame Bovary, causait rêves, pressentiments, magnétisme. » (p. 215) La conversation entre les deux amants atteint un sommet quand « il saisit sa main. » (p. 215) Les deux conversations qui passent en cours ici n’accomplissent pas l’effet de glorifier quelques premières