Madame Loisel sortit de la maison très satisfaite. Elle était si contente que, en n’arrivant pas à contenir son bonheur, poussa un cri. Un passant ,préoccupé et même curieux ,s’approcha d’elle pour comprendre mieux ce qui se passait. Une fois que la femme lui raconta de son collier de diamants ,l’homme, qui songeait déjà ce qu’il pourrait tirer de cette parure, vola le sac et s’enfuit. Madame essaya de le poursuivre mais cette tentative échoua et la femme retourna chez-elle très déprimée. On était de nouveau au point de départ et madame Loisel ne voulait plus se présenter à la fêté. Le mari pourtant, en ne voulant pas voir sa femme dans ces conditions, lui acheta un autre collier moins chère et luxueuse. La femme hésita et voudrait bien refuser l’invitation mais le désir d’avoir accès au monde aristocrate est si grand qu’elle enfin accepta. Lorsqu’ils arrivèrent à ’hôtel du ministère, les époux étaient si frappés par la richesse du lieu que Madame Loisel, ravie par tout ce luxe, était décidée à se trouver une place dans ce monde à tout prix. Mais dedans le salon la présence de madame Loisel était presque ignorée, personne l’avait remarquée. Elle était invisible. La femme décida donc de s’en aller. Lorsqu’elle se faufilait dans la foule ,son attention fut attirée par une scintillement provenant d’une des invités près de la fenêtre. Madame Loisel donc s’approcha d’elle et s’aperçut que le collier qu’elle portait au col était celle qui lui avait été volée le jour avant. La femme alors, plein de rage, lui l’enleva et essaya à s’enfuir. Toutefois son tentative d’échapper échoua car il y avait trop de gens et l’entrée était surveillée par la police qui était en train de s’approcher d’elle. A’ ce point-là madame Loisel comprit que n’importe quoi elle aurait pu faire pour remédier à ce geste elle avait failli à sa réputation. La femme donc en préférant la mort au prison et aux jugements des autre décida de se suicider en se jetant de la