Retenons :

* Un récit historique raconte un événement important, il n’est pas inventé, il est réel. * Dans un récit historique, on donne au locuteur des informations sur le moment (quand), les lieux (où), les principaux acteurs (qui) et l’événement (quoi). * Dans un texte historique, le scripteur n’apparait généralement pas, il prend de la distance par rapport à son énoncé (emploi de « il », la nominalisation…) dans ce cas le texte est objectivé (neutre). Mais l’auteur peut apparaitre d’une manière dissimulée par l’emploi des modalisateurs. Dans ce cas le texte est d’une subjectivité implicite. * L’énonciateur peut choisir d’employer : * Le présent de narration : il place les faits dans le présent de lecteur, il lui permet de revivre et de réactualiser l’événement narré. * Les temps du passé (passé simple, imparfait, plus que parfait) : les faits sont coupés du moment de l’énonciation. * Dans un récit historique, les dates sont données dans un ordre chronologique.

Retenons :

* Un récit historique raconte un événement important, il n’est pas inventé, il est réel. * Dans un récit historique, on donne au locuteur des informations sur le moment (quand), les lieux (où), les principaux acteurs (qui) et l’événement (quoi). * Dans un texte historique, le scripteur n’apparait généralement pas, il prend de la distance par rapport à son énoncé (emploi de « il », la nominalisation…) dans ce cas le texte est objectivé (neutre). Mais l’auteur peut apparaitre d’une manière dissimulée par l’emploi des modalisateurs. Dans ce cas le texte est d’une subjectivité implicite. * L’énonciateur peut choisir d’employer : * Le présent de narration : il place les faits dans le présent de lecteur, il lui permet de revivre et de réactualiser l’événement narré. * Les temps du passé (passé simple, imparfait, plus que parfait) : les faits sont coupés du moment de l’énonciation. * Dans un récit historique, les dates sont données dans un ordre