Manon lescaut
Sujet amené : le livre Tristan et Iseut, c’est de la littérature courtoise du 12e siècle, dont la version est de Joseph Bédier, historien médiéviste français, auteur du 19e siècle.
Sujet posé : Dans l’épisode de la forêt aux pages 75-76, il sera question de démontrer que la notion de repentir prend une signification clairement religieuse dans la bouche de l’ermite Ogrin.
Sujet divisé : À cet égard, il sera important de comprendre la signification du pardon du point de vu religieux. Par la suite, comprendre les conséquences reliées au péché, s’il n’est pas pardonné.
Paragraphe 1
Idée principale : Discours religieux d’Ogrin.
Idée secondaire (1.1) : L’ermite Ogrin ordonne à Tristan de rendre la reine.
Preuve : « Tristan, rendez la reine à celui qu’elle a épousé selon la loi de Rome!»
Procédé : métonymie : «la loi de Rome» signifie la loi de l’église, donc la loi de Dieu.
Commentaire : Cette figure de style montre que l’ordre de l’ermite Ogrin est clairement religieux, car ce n’est pas en son nom qu’il ordonne à Tristan de rendre la reine, mais au nom de la loi de l’Église catholique, donc la loi de Dieu.
Idée secondaire (1.2) : L’ermite ordonne à Tristan de se repentir.
Preuve : « Repentez-vous Tristan! Dieu pardonne au pécheur qui vient à repentance.» Commentaire : une fois de plus, l’ermite ne parle pas en son nom, mais au nom de Dieux. Cela démontre que la repentance a une signification clairement religieuse, car c’est Dieu qui pardonne aux pécheurs et non Ogrin.
Paragraphe 2
Idée principale : L’ermite avertit Tristan du châtiment divin.
Idée secondaire (2.1) : Le péché est puni par Dieu.
Preuve : «le traître à son seigneur, on doit le faire écarteler par deux chevaux
[…] là où sa cendre tombe, il ne croît plus l’herbe»
Commentaire : selon la conception religieuse catholique sans la repentance le