Un silence de mort régna dans le salon, les yeux de Cécile et de son père ne ce croisa pas, puis… - Non ! Je n’épouserais pas Raphaël, cria Cécile. -Tu n’as pas le choix !, tu sais tout en temps que moi que la vie est dur !, te marié a un homme riche te conviendrais très bien, et je… Cécile coupa la parole de son père : - Papa, non je ne veux pas épouser un homme pour son argent et encore moins un homme que tu as choisi, je veux connaître mon destin par moi même, je ne veux pas que tu me l’inflige.
Son père devient rouge de colère, il se leva de son fauteuil et haussa le ton : - Ah ma pauvre fille, tu crois que la vie est faite de fleur et de couleur ?, crois tu que je suis devenu riche par hasard ?, bien sur que non, j’ai épousé ta mère pour cela !
Cécile en pleure, courra s’enfermer dans sa chambre. La servante ayant les yeux et surtout les oreilles partout monta les marches de l’escalier deux par deux, arrivé en haut du pallié aucun bruit, à par les sifflements de Cécile qu’elle essaya de dissimulé dans son oreiller. La servante frappa à la porte, aucune réponse - Madame Cécile ? demanda-t-elle
Toujours pas de réponse, la servante se permis donc d’entré, elle avança puis s’assailla au bout du lit sans un mot. Elle entama la conversation : - J’ai entendu votre père vous crié dessus. - Et alors ? dit Cécile
La servante souri et répond : - Je peux peut-être vous aidé !
Tout en s’essuyant les yeux Cécile demande : - Et comment ? Il faudrait un miracle pour que mon père change d’avis. - Je me marierai à votre place, j’aurais l’argent dont je rêve et vous l’avenir que vous voudrez… Mais bien sur, madame, l’argent dont vous aurez besoin pour être a votre aise, il suffira de me le demandé. N’êtes-vous pas d’accord madame ?
Cécile reste muet, essayant de trouvé quelque chose qui ferai tombé cette idée a l’eau, mais rien, tous s’emblait parfais, à par peut-être la réponse