L’entreprise IBM a connue de 1945 à 2002 des hauts et des bas dus aux différentes approches stratégies que les managers de l’entreprise ont adoptées.
De 1945 à 1985 avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication l’entreprise IBM était le pionner de l’informatique avec ses multiples succès en terme d’innovation. L’informatique étant à ses débuts, IBM était la principale entreprise dans le domaine. Elle prospérais dans le domaine de l’informatique et avais un quasi monopole de l’activité.
Elle imposait le renouvellement des différents produits à tout le marché dont elle avait la maîtrise. Tout réussissait à IBM. Les chiffres d’affaires étaient très importants et l’entreprise cultivait peu à peu « une culture de succès ». Les employés étaient trop fiers d’eux même. Un mythe, un symbole, et une culture d’entreprise se forme autour de IBM. L’entreprise était « saoul » de ses succès. Les cycles de vies des produits ne sont pas respectés. Dans la recherche de l’amélioration de la qualité et surtout compte tenue de la position dominante ou de monopole, les produits pas encore matures sont remplacés par des nouveaux produits. Les managers de IBM développait « une myopie du marché ». Avec le lancement du PC, IBM perd son atout capital qui est le monopole et se retrouve confronté à une concurrence. Sans cette myopie du marché et une culture du succès trop forte l’entreprise IBM aurai gardé son statut de géant de l’informatique à l’abri du la concurrence qui affectera son chiffre d’affaire et équilibre structurel. Il fallait étudier le marché profondément avant de lancer de nouveaux produits.
Les années 80 vont être pour IBM celles de l’apprentissage de la concurrence. IBM était obligé de faire appel à des partenaires pour l’acquisition de certaines composantes de l’ordinateur.
Dans les années 1993, la perte de vitesse de IBM entraîne une perte financière de 8 milliards, mais aussi une réduction du personnel.
Cependant dans sa