mateo falcone
Mateo FalconePublicationAuteurProsper MériméeLangueFrançaisParution France, mai 1829,La Revue de ParisRecueilMosaïqueIntrigueLieux fictifsMaquis près de Porto-Vecchio, CorsePersonnagesMateo FalconeFortunatoGianettoGiuseppaGambaNouvelle précédente/suivanteVision de Charles XImodifier Mateo Falcone est une nouvelle de Prosper Mérimée, terminée le 14 février 1829 et publiée avec le sous-titre Mœurs de la Corsele 3 mai 1829 dans la Revue de Paris, fondée au mois d’avril de la même année. La couleur locale, si fortement marquée dans cette nouvelle, est puisée dans les sources livresques, puisque Prosper Mérimée ne visitera la Corse qu’en 1839.
RésuméModifier
Mateo Falcone habite à la lisière d’un maquis à Porto-Vecchio, en Corse. Un jour, il décide d'aller voir un de ses troupeaux avec sa femme. Fortunato, son fils héritier, voit arriver un homme s’appelant Gianetto qui lui demande de le cacher. Le jeune homme accepte alors pour cinq francs. Un peu plus tard, six hommes armés se présentent chez Mateo Falcone et demandent à Fortunato où est passé l’homme qu’ils poursuivaient. Après discussion, Fortunato accepte de dévoiler la cachette du bandit en échange d'une belle montre dont il rêvait. C'est alors que Mateo Falcone arrive et voit Gianetto qui, capturé, accuse Mateo et sa famille de trahison. Une fois les six hommes et Gianetto partis, sa femme, devinant l’idée de son mari, le supplie d’arrêter mais sans l’écouter, il va, avec son fils, dans la forêt et, après lui avoir fait faire ses prières et malgré ses supplications, l’abat d’un coup de fusil pour avoir sali l'honneur de sa famille.
Adaptations
Bibliographie
Liens externes
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