Mateo Falcone
1) Résumé
Le narrateur décrit la nature. Il y a un peu de sauvage, les sentiers sont bloqués par des ravins, il y a des grands cailloux par terre et le maquis est comme un mur. Le maquis est idéal quand on a tué une personne, parce qu’y on peut vivre en sûreté, les bergers donnent de la nourriture et on a besoin seulement un fusil, de la poudre et des balles et un manteau brun.
Mateo est un homme assez riche. Il n’a jamais tiré sur un mouflon. Mais il est quand même un bon tireur (Il a placé une chandelle allumée derrière un transparent de papier 24 pas (Schritte) loin, puis on a éteint la chandelle et il a percé trois fois sur quatre le transparent.) Il a eu une grande réputation, il est serviable et fait des aumônes, il vit en paix avec tout le monde. Mais quand il fait connaissance avec sa femme, il devait débarrasser un rival, donc il a tiré sur lui quand il s’est rasé. Sa femme Giuseppa lui a donné trois filles, mais pour lui seulement les garçons comptent (l’héritier(Erbe) du nom), et enfin il a reçu un garçon: Fortunato.
Un jour, Mateo et sa femme sont sortis pour aller visiter un de ses troupeaux. Fortunato restait tout seul à la maison parce que c’était trop loin. Il a profité du soleil et a pensé au dimanche prochain, mais tout à coup une explosion d’une arme à feu l’a réveillé. Un homme vient. Il veut que Fortunato le cache. Gianetto le menace avec le mort. Mais Fortunato reste calme, parce qu’il sait que le fusil est déchargé. Donc Fortunato est malin et veut savoir ce que Gianetto lui donne, s’il le laisse dans sa maison. Gianetto lui donne une pièce de cinq francs. Donc le garçon fait un grand trou dans un tas de foin et Gianetto s’y blottit (verkriechen). Fortunato met une chatte et ses petits sur le tas et puis il s’est recouché au soleil.
Quelques minutes après, ils viennent six hommes en uniforme. Un homme, Tiodoro Gamba, qui semble parent de Falcone commence à poser des questions. Il veut savoir si Fortunato a vu Gianetto. Mais