Matin brun de franck pavloff
Il s’agit de deux amis, Charlie et le narrateur, qui vivent dans une époque trouble, celle d’une monté d’un régime politique d’extrême ; l’Etat Brun. Les scientifiques prouvent que les animaux bruns sont plus résistants que les autres, ce qui engendre une loi qui interdit d’avoir un animal non brun, qui en engendre une autre qui touche plus précisément les médias, donc la liberté d’expression avec l’interdiction de parler de quelque chose de non brun, la seule presse autorisée est d’ailleurs « Nouvelles Brunes ». Cela va tellement loin que les gens se sentent obligés de dire « brun » à chaque fin de phrase, pour être bien vu. Ensuite, une loi est instaurée disant que tout ceux ayant eu auparavant des animaux non bruns seront arrêtés, car ils n’ont pas pu changer de mentalité. Charlie se fait donc arrêter, puis à la fin, quelqu’un frappe à la porte du narrateur, qui avait aussi eu un chien non brun auparavant. Cette nouvelle se termine ainsi, c’est une fin ouverte qui est assez angoissante, car on sait que le narrateur va se faire arrêter, mais le fait que ce ne soit pas dit et que ça se termine comme ça c’est assez angoissant. Ce livre évoque le nazisme avec la seconde