Le bassin aux nymphéas, le pont japonais du jardin d'eau de Claude Monet 1899 à Gaverny. est orné d'un petit pont de bois qui enjambe l'extrémité du bassin,La forme arquée de cette passerelle et de son garde-corps lui ont valu le nom de pont japonais.onet, comme nombre de ses contemporains, était fasciné par le pays du soleil levant. Peu soucieux d'une fidélité absolue au modèle, Monet l'a fait peindre en vert - dans un vrai jardin japonais, le pont aurait été rouge.

Les variations de lumière, de temps et d’atmosphère, de même que les contrastes produits par le reflet de la végétation sur les eaux calmes
Sur ces toiles, la fluidité de sa technique, qui évoque parfois des gouttes de pluie glissant sur la toile,

Monet a peint la lumière, la représentant non plus comme un contraste avec l'ombre, mais comme une couleur. Dans ce tableau il unit couleur et lumière, peignant la lumière colorée avec force qui enveloppe tous les éléments dans une sensation atmosphérique.

La couleur de l’instant,

Une pièce d’eau, des plantes aquatiques, sur les rives des touffe de joncs et d’iris,
En arrière plan un saule pleureur, d’autres arbres.
Une passerelle en arc de cercle, peinte en vert.

Met en scène 4 éléments de décors .
Le pont, les feuillage, l’eau, les nénuphars.
Le pont est ce qui relie lieu et l’homme, le lien social et la communication ce qui fait passér d’un lieu à un autre, d’un pays à un autre, d’une vie à une autre.
Devient dans la toile un élément principal, séparant la peinture en 2 zones, immuable il s’oppose aux matières plus souples des élements du reste du décor.
Fleurs et végétaux soumis au caprice du vent et de la lumière, écoulement du temps, fluidiité de la matière, la transformation perpétuelle des formes ;
L’eau est matière morphe, malléable et mouvante, pure miroir : réfléchissant des masses mouveantes des feuillage des arbres et des nuages.
Le reflet redouble l’image, la répercute en la brouillant : et transpose les