Pour Descartes, l’humain est un esprit qui pense. C’est notre esprit qui est vivant et qui existe. Ce n’est pas notre corps. Le corps est une machine qui sert à garder notre esprit en place. Il va également mentionner que l’humain a des arguments trompeurs. Descartes cherche à connaître toutes les choses qui sont fausses. L’homme est rempli de doutes. Il cherche donc la vérité. Au début, il n’est pas sur si l’homme existe. L’homme est un esprit qui pense. Cependant, au fur et à mesure, il dit que l’humain existe. Il prend comme exemple de la cire qu’on retrouve dans une ruche et que l’on va fondre par la suite. Au début, la cire est dans la ruche. Par la suite, on la sort de la ruche pour la faire fondre. Pendant qu’elle chauffe, elle se transforme. Elle change de couleur, de texture, d’odeur, etc. Descartes se pose comme question si la cire au début et toujours la même après qu’elle a fondu. Pour connaître la réponse, il doit penser. Il ne connaît pas la réponse. Elle ne peut pas lui venir en tête directement. Il regarde, la cire, il l’analyse, pense, et crée une idée distincte. Donc, s’il juge que cette cire existe, parce qu’il le voit, il existe lui aussi. Il est venu à la conclusion que cette cire est toujours pareille. Même si ce n’est pas la même cire qu’il y a eu au début, son esprit a pensé, par lui-même, qu’il y a de la cire devant ses yeux. Il a une idée qui s’est formée dans son esprit alors cette cire existe. Tout cela pour revenir à la notion de Descartes qui montre que l’humain a un esprit qui pense. (286 mots)