Dans une première partie nous allons voir l'image que Victor Hugo donne à "ces enfants" , on retrouve dans les six premiers vers le malheur des jeunes enfants qui s'en vont vers un lieu d'enfermement la prison "Ils vont [...]faire éternellement Dans la même prison le même mouvement" ces enfants de différents âge soit-il ,"Ces filles de huit ans" font un travail manuel avec des machines les "meules" ils font un travail pénible et répétitif qui s'exprime dans le vers 11 "Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue" et dans le vers 5 à 6 "de l'aube au soir, faire éternellement [...] le même mouvement" . Dans ce poème "ces enfants" sont décris comme des "doux êtres pensifs" mais qui sont touchés par des maladies comme la fièvre , Victor Hugo décrit aussi des enfants solitaires :"Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules", qui sont d'origine pur presque angélique mais qui sont asservies "Innocent dans un bagne, anges dans un enfer" ici on a l'utilisation d'un chiasme .Aussi Victor Hugo nous fais imager des enfants fragiles "quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue." qui sont encore trop jeune et donc incapable de travailler manuellement de manière répétitive "Il fait à peine jour qu'ils sont déjà bien las" ici les enfants sont constamment dominés , Victor Hugo emploie à plusieurs reprises l'adverbe "sous" : "sous des meules" vers 4 , "sous les dents" vers 7 , Il met en parallélisme les vers 4 et 7 se qui montre bien l'emprisonnement et la domination des enfants . Victor Hugo décrit avec réalisme l'état physique des enfants , il insiste sur leur mauvaise santé "que la fièvre maigrit" ,"quelle pâleur!", et leur fatigue "bien las" ,"rachitisme!".Victor Hugo montrent au lecteur que les enfants ici ne sont pas ressemble de leur actes "ils ne comprennent rien à leurs destins " vers 14 et que se sont des outils et donc des machines qui produisent "la richesse en créant la misère " vers 24 . Aussi pour accentuer leur fragilités il va décrire un arrière