Critique du Dialogue entre un prêtre et un moribond

L'origine de l'homme et de tout ce qui l'entour est un sujet qui porte beaucoup à la controverse.
Il est ,selon moi, tout à fait légitime de la part de l'être humain de prôner le point de vue qu'il juge être le vrai sans être aveuglé par une croyance non-fondée. Tel a été l'enjeu du dialogue entre un prêtre et un moribond. Cette question majeure d'ordre morale suscite bien-sûre un grand questionnement.
À quel prix faut-il se conformer à une toute-puissance qui se serait autoproclamée sans se soucier d'être appuyée par des preuves valables, des faits démontrables?
Le moribond ,lui, devant une question si fondamentale a décidé de choisir son parti de façon rationnel.
Les deux partis opposés étant évidemment la science naturelle et la religion.
Il a donc opté pour la nature en elle-même.
Par quel raisonnement a t-il prit sa décision de culte originelle, par quels motifs s'est t-il justifié?
Les critères de son choix, étant tous des concepts abstraits, sont relativement complexes à identifier.
Toutefois, je tenterai de synthétiser en un système d'idée inter reliés le raisonnement du moribond face aux affirmations erronées du prêtre, en abordant la lacune de preuves à l'égard de la religion et tout ce qui se rattache à l'autosuffisance de la nature.

If faut tout d'abord, vous situez dans le contexte dans lequel le dialogue se déroule.
Le prêtre, étant venu accompagner le moribond dans ces derniers instants, demande à ce dernier s'il se repend des ces fautes ultérieurs. Le moribond lui répondit que oui mais pas envers le Dieu que suppose le prêtre, mais plutôt envers la nature elle-même (la nature est selon lui la toute-puissance réel, son
Dieu). La mise en contexte étant faite, je vous indique (N.B.) que j'interpréterai l'idée reprochée du moribond sous forme de syllogisme, c'est à dire que si cela est vrai, ceci est donc faux et si cela est faux ceci est donc vrai. Donc si un énoncer est présenté