Milgram, introduction

506 mots 3 pages
Comment des hommes parfaitement ordinaire et normaux ont pu se révélé a être les pire bourreaux que l’humanité ai connu, c’est ce que Hanna Arendt tentera de répondre tout au long de son ouvrage, la banalité du mal. En effet, ceux qui font parti du génocide d’Allemagne, n’étaient pas des que des psychopathes, des fous ou bien des êtres violents. Ils étaient dans bien des cas psychologiquement parfaitement normaux et agissait de leur grés consciemment pour ce qu’il croyait être le bien. Dans le cas d’Eichmann, il ne jugeait pas le mal du bien, et c’est ce qu’on qualifiait ‘’ d’absence de pensé’’. Il agissait dans ce qu’il croyait l’accomplissement de son devoir et alors cessait totalement de penser. Ce phénomène sera appelé a ‘’banalité du mal’’ ce qui suscitera beaucoup de questionnement par rapport à notre capacité à faire le mal dans toutes et chacun, selon le contexte. On y fini par voir que ceux qui s’adonna aux actes les plus terrifiant nous sont en fait, pas très différents.

Le dirigeant du plus important camp de concentration a même avoué, dans son témoignage à avoir eu souvent beaucoup de compassions et de compréhension envers les victimes, avouant avoir lui-même était prisonnier. Leur ‘’éliminations’’ pouvait s’avéré être difficile pour lui. Il avait conscience que ce qu’il faisait était contre nature, mais il devait défendre la dure image qu’on devait avoir de lui, et ne pouvais certainement pas avouer tout cela au Führer, il aurait été certain bannit de son poste. Il se conformait donc aux règles. Pour bien comprendre pourquoi ils se soumettaient ainsi, il faut tout aussi chercher à déterminer les facteurs extérieurs et bien entendu, le contexte. Ces hommes sont en totalité bien normal, mais leur situation ne l’est certes pas.

Eichmann ainsi que plusieurs autres n’ont fait que proclamer sans cesse qu’ils n’ont fait qu’exécuter les ordres. Il n’aurait jamais remis en question ce qu’on lui ordonnait, plus précisément ce que le Führer lui ordonnait.

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