“La boite de souvenirs” Et me voilà ici, depuis 5 ans... Je suis retournée de nouveau dans cette maison, chez nos mémoires... Je me couche pour un instant sur le lit, et la suivante léthargie commence avec l’absence de ta présence. Mes rêves sont tranquilles, recouvertes de la douce fourrure de la quiétude. Elles restent indifférents aux démons sommeil- briseurs, qui tentent de temps en temps d’envahir mes pensées. Encore une été sans toi... Le sentiment qui me donne cet endroit est trop fort. Le piédestal de la crainte m’accompagne comme un gardien dans une prison sans cellule, dans une prison qui t’étouffe avec son espace géant. Je me leve et je trotte vers un objet que j’avais laissé depuis longtemps au coin de cette chambre. Maintenant je suis devant à cette boite de souvenirs, dont laquelle je suis penché et où il est écrit blanche sur noir une histoire de ma vie. C’est la premiere fois, depuis si longtemps que je me face avec quelque chose que j’ai tenté de la transporter à l’oubli. Je te confie que je suis en train de toucher ce qui m’amène au douleur, autrement dit, qui me bouge l’âme. Mais ce qui est plus grave, cette boite me fait comprendre encore une fois que tout est fini entre nous. Cette case a toujours été ici, gravé dans mon esprit. Je l’ai vue mille fois, sans m’approcher à elle. Derrière de cette boite, qu’à peine s’ouvre se trouve l’image d’un homme aimé, transformé au cadavre, qui cherche à sortir et de me parler. J’accepte, le point faible de mon caractère c’est la crainte. Je dois la déprimer! Finnalement, je l’ouvre... Il a été tout simplément écrit “Je t’aime, même dans ce dernère moment de ma vie, et je t’aimerai encore s’il y aura l’éternité”. Désormais tu es bien loin de moi, et je n’ai pas pu donner l’adieu à l’homme de mon coeur. Je ne t’ai pas vu à ton dernier souffle. J’ai vécu toujours avec la peur, que ces mots, dans ce petit pièce de papier seraient mon éternel douleur pour ton absence. Ce qui plus me