1ère STROPHE : Paris de la lumière et du luxe
○ Un premier contraste apparaît de l’intérieur de la chambre, où se tient le poète, derrière la fenêtre il observe, tout ce qui se passe dans la rue, le déroulement de la vie moderne.Les allusions au luxe, « vitrines », « limousines », s’opposent, au monde ouvrier, illustrer par le peintre « pocheur », ou les « linotypes », machines à imprimer qui fait du bruit.
○ De plus des bruits s'opposent, « violons » et « xylophones ». ○ La métaphore du vers 1, transforment les « vitrines » des boutiques en celles de la poésie. Le verbe « brillent » mis en valeur par le rejet et l'isolement donne l'impression que les éléments dans les « vitrines » deviennent comme des bijoux.