I. Le plan :

Introduction :

1. Cerner les ou la signification(s) des notions ou expression (termes) de la question.
2. Mettre en évidence une contradiction, un paradoxe, une impasse (mise en abîme, retournement …)
3. Annoncer le plan en évitant de mettre « dans un premier temps… »
4. Eviter de mettre des citations, des références de philosophes ayant déjà traité le sujet
5. Répliquer aux premières contradictions possibles

Développement :

1. Ne jamais commencer le développement par : donc, en effet, par conséquent … (présupposition d’avoir dit quelque chose avant)
2. 3 parties : thèse, antithèse et synthèse (composées de 3 sous-parties, 3 arguments). Elles doivent traiter la totalité de la question.
3. 1 transition entre chaque partie (montrer l’insuffisance de l’argumentation précédente pour enchaîner sur la partie suivante)

Conclusion :

1. Rappeler le problème qui répond à la problématique et les différentes étapes de l’argumentation
2. Apporter une réponse au problème/une solution au problème (pas de véritable réponse ni de véritable solution)
3. Ne pas introduire d’idées nouvelles
4. Pas de question ou d’œuvre d’ouverture
5. Ne pas citer de citations sans les expliquer

II. Précisions et références :

1. Ne pas prononcer je sauf entre guillemets (emploie du nous ou vous)
2. Ne pas s’adresser au lecteur (pas de tu ou vous)
3. Prendre des exemples :
Dépersonnalisés
Explicite (les développer)
Ne pas les illustrer par des schémas
4. Ne pas utiliser des arguments d’autorités (ce n’est pas parce qu’un philosophe l’a dit que c’est vrai)
5. Eviter le hors sujet :
Toujours situer ce qu’on dit par rapport à la question posée
Toutes les citations doivent être expliquées
6. Toujours souligner les titres ou les mots étrangers
7. Se relire
8. Si possible, la lire à quelqu’un qui n’a jamais fait de philosophie ou il y a longtemps