Moi et ma gvkjldfbvker
Quel(s) intérêt(s) le lecteur de romans trouve-t-il à des personnages faibles, médiocres voire méchants ?
Dans une chronique publiée dans Le Gaulois, Maupassant affirme que, pour qu'il puisse être touché par un roman, il faut que les personnages soient ses voisins, ses égaux, passent par les joies et les souffrances qu'il connaît. Les personnages de roman doivent-ils, pour toucher le lecteur, être ses voisins, ses égaux et passer par les joies et les souffrances qu'il connaît ?
Imaginez un débat dialogué entre un personnage défendant le propos de Mme du Châtelet : moins notre bonheur dépend des autres et plus il nous est aisé d'être heureux et son contradicteur. Un court paragraphe placé avant le débat permettra au lecteur de connaître les circonstances dans lesquelles les personnages échangent leurs points de vue ainsi que leur condition sociale et leurs relations ?
Et, selon toute apparence, non seulement le romancier ne croit plus guère à ses personnages, mais le lecteur, de son côté, n'arrive plus à y croire. Nathalie Sarraute.
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