Molière

1059 mots 5 pages
0.1. Raison : faculté de bien juger et de distinguer le vrai du faux.
Présomption : jugement fondé sur des suppositions.
Dessein : intention d’exécuter quelque chose, projet.
Préceptes : règle, leçon, enseignement.
Fortune : le hasard heureux ou malheureux, ce qui ne dépend pas de moi. 0. Descartes aimait les mathématiques parce qu’il aimait le fait qu’il pouvait se baser là-dessus afin d’en arriver à une réponse. Il ne doutait pas étant donné que les vérités lui étaient démontrées. Il arrivait à se baser sur les démonstrations parce que tout était clair et précis à ses yeux. En fait, les mathématiques l’avaient séduit par l’évidence de leurs raisons. En outre, c’était simplement logique. Bref, il n’y avait rien à ses yeux qui était plus utile que les mathématiques. Il ignorait à quoi ça servait, mais il savait qu’elles étaient utiles parce qu’elles étaient démontrées.

1. La première règle est celle de l’évidence : « Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle.» En fait, ça consiste à dire qu’il faut sans précipitation et sans préjugé tenir pour vrai ce qui est clair et distinct. De plus, il veut faire en sorte que l’être humain ne sera pas en mesure de recevoir aucune vérité tant que son esprit ne l’aura pas clairement et distinctivement assimilé préalablement sans précipitation et sans prévention.
Le deuxième règle est celle de l’analyse : «le second, de diviser chacune des difficultés que j’examinerais, en autant de parcelles qu’il se pourrait, et qu’il serait requis pour les mieux résoudre.» En fait, ça consiste à dire que les notions complexes deviennent plus claires et distinctes lorsqu’on est les réduits à leurs éléments. De plus, cela consiste à trier ses difficultés afin de mieux les examiner et les résoudre.

2. 3.0) La première maxime de la morale provisoire est celle-ci : « La première était d’obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la

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