Commentaire littéraire : Le misanthrope de Molière, I-2, v. 295-350, 1666.
(Contextualité par rapport à la préciosité : les salons mondains.) Le misanthrope de Molière est une comédie classique du XVIIème siècle. A l’époque les textes théâtrale sont aussi des textes poétique, ici les cinq actes sont écrient en alexandrins, cette écriture poétique est basé sur un système de vers écrient en douze syllabe. La scène présente trois personnages masculins. Le misanthrope est un terme d’origine grecque, il désigne quelqu’un qui hait l’homme et ce qui l’entoure, c’est donc une personne isolé, associable, qui ne multiplie pas les amitiés, car il prétend que l’homme n’a pas les mêmes valeurs que lui. Ici, Alceste se considère comme tel. Dans l’acte deux, il se trouve dans l’anti chambre de la dame qu’il aime : Célimène pour lui déclarer son amour. Dans la précédente scène Alceste est saisit dans une conversation avec son seul et unique meilleur ami : Philinte. Lors de ce débat, Alceste confit à Philinte qu’il est quelqu’un qui n’aime pas la nature humaine mais Philinte lui fait alors remarqué qu’être amoureux ne correspond pas à ses valeurs et à celui qu’il prétend être.
Dans la scène deux, on assiste à l’arriver du fâcheux importun Oronte. Celui-ci et Alceste se rendent l’un l’autre chez Célimène pour la conquérir. Oronte est donc le rival d’Alceste. Ici, Oronte vient présenter à Alceste un poème qu’il a écrit et lui demande son jugement car il est connu pour sa sincérité. I- Portrait en action : le langage révèle des caractères.

A. Les personnages
Molière fait d’Oronte est un poète flatteur et vaniteux. Par le ver 35 « j’ai fait » il se place avec la première personne du singulier en sujet d’un verbe d’action pour insister sur sa création. Il utilise le vocabulaire technique « sonnet » (vers 3/20) et « vers » (22/23) puis le substantif « style » (vers 28) qu’il reformule au vers 30 « choix des mots » ainsi il met en avant le travail d’écriture qui