Mon carnet de lecture émile zola
Emile Zola, Jacques
Damour
Louisa JOVET, 1RISCMon carnet de lecture Émile Zola, Jacques Damour Œuvre intégrale au programme La carte d’identité de l’œuvre :TitreJacques DamourAuteur ou autrice Emile ZOLADate d’écriture / de publicationPublication : 1884 dans le recueil de nouvelles “Naïs Micoulin” Ecriture : 1884 en enquêtant sur les mines d’AnzinGenre (recueil de nouvelles, roman…)Une nouvelleMes impressions avant la lecture : Ai-je envie de lire cette œuvre ? Pourquoi ? …afficher plus de contenu…
Le titre me donne-t-il envie de la lire ? Pourquoi ?Oui, le titre me donne envie de lire cette œuvre. Il est original. J’ai envie de savoir pourquoi cette nouvelle porte ce titre. Que signifie ce titre ? Donne-t-il des indications sur le(s) thème(s) abordé(s) dans l’œuvre ? Je suppose qu’il parle d’un homme se nommant Jacques Damour. On peut déjà imaginer que l’œuvre se passera dans les années 1900 au vu du prénom Jacques qui était très à la mode à cette époque. De plus, l’œuvre abordera sûrement de la romance, au vu du peut-être nom de famille de Jacques. La couverture me donne-t-elle envie de la lire ? Pourquoi ? Que m’évoque-t-elle ? La couverture me donne envie de lire cette œuvre oui. Je la trouve attirante et on a envie de connaître son origine. La couverture m’évoque la guerre et les …afficher plus de contenu…
Attention, ce sont vos mots que j’attends et pas un copié collé d’internet !Citations importantes1Le premier chapitre nous raconte l'histoire de Jacques et plus particulièrement de la famille Damour, vivant en France, à Paris. Les Damour, ayant une vie heureuse avec deux enfants, seront malheureusement interpellés par la guerre franco-prussienne. Jacques et son fils âgé de 19 ans, Eugène, partirent à la guerre tandis que l’autre partie de sa famille mourrait de faim. Finalement, Eugène mourut à la guerre et son père fut emporté par les Prussien en Nouvelle-Calédonie, dans la ville de Nouméa, ville portuaire, capitale. “Là-bas à Nouméa, lorsque que Jacques Damour regardait l’horizon vide de la mer, il y croyait parfois voir toute