Monsieur
Je vais vous parler du poème “Teddungal” des Éthiopiques Léopold Senghor. Ce poème a été écrit en 1954 lorsqu’il est en France coloniale, au Sénégal et commence à s’intéresser à la polotique. Rien que le titre du poème nous donne un indice important sur son contenu. Teddungal signifie honneur en langue peuhle (Dialecte du sénégal) et est également utilisé comme cri de guerre destiné a motiver les troupes.
Dans la première strophe, le poète montre un sentiment de solitude et de danger. Ceux-ci sont expremés par “tornade fauve”, “piquants des gommiers”, “scorpions” ou encore “maigres nous marchions” Les trois premières quotation ci-dessus soutiennent le sentiment de danger qu’exprime le poète et la quatrième montre qu’ils fuient quelque chose? qu’ils sont trop pressés de fuir pour chasser et se nourrir correctement? J’ai personnelement l’impression qu’il parle de l’exil d’un peuple. Dans son cas, du peuple Noir chassé par les Blancs je suppose. “Où la tendresse du printemps”, cette ligne souligne la dureté de ces temps, seuls les plus forts survivront. C’est chacun pour soit, ce qui supporte le sentiment de solitude exprimé par le poète. “Nos gorges comme des citernes sonnaient creux à l’appel immense de la poitrine” cette ligne donne également un grand sentiment de solitude, comme si ils etaient tellement loin de tout que même en criant à gorge deployée, personne à part l’écho ne répond. “au pas du boeuf porteur” porteur de quoi? de leur biens? de tout ce qu’ils ont réussis sauver avant de partir en exil? “nos pieds dans la poussière des mort” ceci soutient mon idée de chacun pour soi, les plus faibles qui ne peuvent suivre sont abandonnés. Et Finalement “Chaque touffe d’herbes cache un ennemi” ceci souligne encore ce sentiment de grand danger, la neccesité de toujours être a l’affut. Cette première strophe montre des gens apeurés, qui ne pensent qu’à leur propre survie et à fuir le plus vite, le plus lion