Moral : Travail sur l’affaire martin

1. Michelle Martin est l’ancienne femme et complice de Marc Dutroux, elle a été jugée et condamné avant de pouvoir sortir en liberté conditionnelle. Cependant, à sa sortie, elle espérait pouvoir se réintégrer dans la société et trouver un boulot. Seulement, peu de gens sont près a oublier les crimes qu’elle a commis : c’est ainsi qu’un père de famille demandait à son fils de crié « Faut qu’elle crève » devant les caméras de télévision à Malonne ou encore la presse qui allait presque jusqu’à inciter la haine, à faire scandale. Il y a aussi J.Verstrepen qui postait sur twitter : « Pas déconner. Si on se cotise, on peut trouver un albanais et le payer pour qu’il zigouille Michelle Martin […] »
Donc, voilà « le problème » qui a animé la Belgique : « Peut pardonner à M.Martin les crimes aux qu’elle a participé ? »
Tous ne sont pas d’avis tandis que certains estiment qu’elle devrait mourir ou au minimum rester en prison, d’autres la soutiennent et l’aident a ce réintégrer. C’est ainsi que Suzanne Boonen-Moreau, ancienne vice-présidente du tribunal de 1ère instance de Namur. Cette ancienne juge rencontrera la presse et elle explique que si elle aide Michelle Martin, c’est par ce que c’est un droit élémentaire, humain de pouvoir travailler, gagner se vie, se loger. Elle dit même que Michelle Martin a commis des choses graves mais que depuis sa condamnation, elle a été irréprochable.
Mais les gens sont coincés dans leurs opinions, ces gens qui ne savent rien mais qui pense et qui, en définitive, suivront toujours l’opinion public. Spinoza dit : « Les hommes sont plus touchés par l’opinion que par la raison » et Bergson rajoute : « Les opinions auxquelles nous tenons le plus sont celles dont nous pourrions malaisément rendre compte et les raisons même par lesquelles nous les justifions sont rarement celle qui nous ont déterminés à les adopter », par rapport a Michelle Martin on peut donc dire que si l’opinion public est contre